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Quels sont les risques en cas de grand froid ?
Le grand froid, comme les vagues de chaleur, peut constituer un danger pour la santé des personnes, notamment les plus vulnérables (personnes âgées ou souffrant de problèmes de santé, enfants en bas âge…) ou les plus exposées (travailleurs en extérieur, personnes sans domicile fixe…).
Le risque est d’autant plus grand que les épisodes de froid peuvent s’accompagner d’autres phénomènes potentiellement dangereux : vent amplifiant la sévérité des températures ressenties, pollution atmosphérique pouvant aggraver des pathologies respiratoires, chutes de neige et phénomènes de verglas ou de pluies verglaçantes entraînant la formation de phénomènes glissants sur les trottoirs et le réseau routier…
Les impacts sur la santé d’un épisode de grand froid vont dépendre à la fois des basses températures en tant que telles et du vent qui va influer sur la température "ressentie" et sur les impacts du phénomène sur la santé des personnes. En effet, en l’absence de vent, il se forme au contact de la peau une fine couche d’air réchauffée par l’organisme. Lorsqu’il y a du vent, cette pellicule isolante ne peut se constituer, ce qui refroidit l’organisme. Plus le vent est fort, plus la température ressentie est basse.
Exemple : Une température de -10°C avec un vent de 30 km/h se traduit par une température ressentie par le corps de -20 °C, une température de -5 °C avec un vent de 50 km/h par une température ressentie de -15 °C. Lorsque la température ressentie descend en dessous de -27°C, le risque de gelure grave augmente très rapidement.
Les risques pour les personnes
Les basses températures, notamment accompagnées de vent, peuvent provoquer différentes blessures comme des engelures superficielles, des gelures, voire une hypothermie. Il faut savoir les reconnaître rapidement pour pouvoir les traiter le plus efficacement possible.
Quelles sont les populations les plus à risque ?
Les personnes âgées : Elles sont potentiellement vulnérables au froid en raison de la diminution de leur perception du froid et de leur réactivité, de l’altération des vaisseaux sanguins et de la diminution de la masse musculaire. Celles qui présentent des troubles cardiaques et/ou une insuffisance respiratoire, et celles qui souffrent de la maladie d’Alzheimer ou de maladies apparentées, sont encore davantage vulnérables.
Les nouveau-nés et les nourrissons : Leur capacité d’adaptation aux changements de température n’est pas aussi performante que celle d’un enfant ou d’un adulte. De plus, le très jeune enfant est trop jeune pour pratiquer une activité physique lui permettant de se réchauffer et ne peut exprimer clairement sa détresse face au froid.
Les personnes souffrant de certaines maladies telles qu’une insuffisance cardiaque et/ou respiratoire, d’asthme ou de diabète, ou encore des troubles neurologiques, constituent également des populations particulièrement vulnérables.
Les personnes à mobilité réduite, les personnes sans domicile fixe ou vivant dans des logements insalubres, les personnes en situation de grande précarité et les personnes, même en bonne santé, qui travaillent en extérieur, représentent aussi des populations à risque.
Quels sont les risques pour la santé ?
Les engelures superficielles sont des réactions assez légères au froid qui sont généralement peu douloureuses. Celles-ci se caractérisent par une zone de peau blanche ou jaune-gris anormalement ferme ou malléable comme de la cire avec un engourdissement des parties exposées au froid. Les engelures peuvent apparaître rapidement, en particulier si la partie du corps exposée au froid est mouillée et/ou si le vent est fort.
Les gelures graves apparaissent lors du gel complet des tissus. La peau devient insensible, de couleur bleue-noirâtre, et cloquée. Non traitées, les tissus atteints deviennent noirs et peuvent même se briser.
L’hypothermie survient lorsque la température corporelle s’abaisse en dessous de 35 °C. Ce phénomène est d’autant plus dangereux que ses symptômes apparaissent de façon progressive et ne se remarquent que tardivement. Les principaux signes d’une hypothermie sont : une prononciation ralentie des phrases, une perte de jugement puis une confusion mentale, la perte de coordination des membres, un sentiment de fatigue et d’intense frilosité, une sensation d’engourdissement progressif et de tension musculaire pouvant conduire à une perte de conscience voire à un coma.
Un froid intense diminue les capacités de résistance de l'organisme. Cette fragilisation des organismes peut rendre ceux-ci plus vulnérables aux grippes et autres maladies infectieuses qui circulent au sein de la population notamment en période hivernale.
La neige, le verglas ou les pluies verglaçantes, peuvent engendrer des risques de traumatismes et de fractures en raison des sols glissants, augmenter les risques liés aux chutes de branches d’arbre et accroître fortement les risques d’accidents de la route…
Comme la canicule, le grand froid peut affecter la santé des personnes en aggravant des pathologies déjà présentes notamment cardiaques et respiratoires, voire entraîner une dégradation de l’état de santé propice au développement de pathologies à plus long terme (accidents vasculaires cérébraux, infections respiratoires).
Les risques pour les biens, les activités et l’environnement
Outre les risques pour les personnes, le grand froid, le gel, la neige, le verglas et les pluies verglaçantes peuvent engendrer des dommages à l’environnement, aux activités, aux biens, réseaux et infrastructures et fortement perturber la vie quotidienne :
Gel des canalisations pouvant entraîner leur détérioration, puis des fuites et d’importants dégâts des eaux lors du dégel.
Fragilisation des bâtiments en raison du poids et de la pression de la neige accumulée sur les toits, effondrement des vérandas, serres, habitations légères…
Chutes de lignes électriques et téléphoniques ainsi que des catenaires du réseau ferré…
Dommages aux véhicules (augmentation des risques d’accidents, pannes liées au froid, corrosion liée au sel utilisé pour le salage des routes…)
Dommages à la végétation ainsi qu’aux cultures notamment en cas de gel survenant tardivement au moment où la végétation redémarre, mise en danger de certains animaux sensibles aux basses températures…
A savoir
Les épisodes de grand froid correspondent souvent aux pics de consommation électrique (personnes plus souvent présentes à leur domicile, télétravail accru, augmentation des besoins de chauffage et d’éclairage à une période où les journées sont plus courtes…). Cela peut mettre sous tension le réseau électrique, réduire sa capacité à fournir en électricité et entraîner des coupures de courant dans certains secteurs.
Comment se protéger pendant une période de grand froid : les comportements à adopter
De manière générale, il est important de rester vigilant pour sa propre santé mais aussi vis-à-vis des personnes les plus fragiles : ne pas sortir les nourrissons et les jeunes enfants, même bien protégés et appeler le 115 (n° d’urgence) si l’on remarque une personne en difficulté dans la rue.
Au quotidien, chez soi
Limiter les activités extérieures au maximum, notamment les efforts physiques et les déplacements. En cas de sortie forcée, s’alimenter convenablement une fois de retour à l'intérieur et prendre une boisson chaude.
Ne pas consommer d’alcool, l’ébriété faisant disparaître les signaux corporels d’alerte liés au froid.
Prendre des nouvelles de l'entourage et proposer son aide aux plus fragiles.
Si l'on est obligé de sortir de chez soi
Il faut se couvrir convenablement, notamment au niveau des extrémités et de la tête où les déperditions de chaleur corporelles sont les plus importantes, mais aussi du nez et de la bouche pour respirer moins d’air froid. Ne pas hésiter à porter plusieurs vêtements superposés. Utiliser de bonnes chaussures afin d’éviter les chutes sur la neige ou le verglas.
S’informer de l'état des routes avant de circuler en voiture. Prévoir des boissons chaudes (thermos), des vêtements chauds et des couvertures, ainsi que ses médicaments habituels, et un téléphone portable chargé.
Si l’on est bloqué en voiture : Faire tourner le moteur 10 minutes toutes les heures. Entrebâiller la fenêtre pour éviter l’intoxication au monoxyde de carbone. Faire de temps en temps des exercices en bougeant les bras, les jambes, les doigts vigoureusement afin de maintenir une bonne circulation. Vérifier que la neige ne bloque pas le pot d’échappement du véhicule. Ne pas utiliser inutilement les phares du véhicule, pour éviter de décharger la batterie.
Être très prudent au cours des déplacements et redoubler d’attention, en particulier envers les piétons qui ont souvent la vision gênée par les vêtements et le vent glacé.
Comment protéger son véhicule
Certaines mesures peuvent être prises afin de protéger sa voiture du froid. Par exemple, lorsque l’on ne dispose pas d'une place de stationnement abritée, il est recommandé de se munir d'une bâche anti-gel pour couvrir sa voiture. Il faut éviter l'emploi de morceaux de carton ou de papier journal pour protéger pare-brise et vitres qui pourraient s'y retrouver collés sous l'effet combiné du froid et de l'humidité. Également, ne pas tenter de dégivrer le pare-brise et les vitres avec de l'eau chaude. Pour dégeler la serrure et les joints, utiliser un dégivrant.
Nettoyer régulièrement son véhicule afin d’éviter que le sel utilisé pour le salage des routes ne finisse par corroder et endommager la carrosserie et les pièces mécaniques du véhicule.
Surveiller le niveau de chargement de la batterie du véhicule. Le cas échéant, la démonter et la stocker au chaud durant la nuit afin de la préserver.
Ne pas serrer trop fortement le frein à main afin d’éviter que les plaquettes de frein ne gèlent et ne se collent. Enclencher plutôt une vitesse pour stationner.
Installer des pneus hiver pour une adhérence accrue. Ceux-ci sont obligatoires (cf. loi Montagne) entre le 1er novembre et le 1er mars dans certaines communes des zones de montagne dont la liste est arrêtée chaque année par les préfets.
Comment préserver son logement du froid
Avant le début de la saison hivernale
Faire intervenir un professionnel qualifié pour contrôler et entretenir les installations et appareils de chauffage.
Faire ramoner et vérifier l’étanchéité des conduits d’évacuation des gaz brulés et des fumées.
Lorsque l’hiver s’installe
Protéger du froid les canalisations et compteur d’eau.
Dégager la neige, en salant les trottoirs, pour se protéger des chutes et protéger les autres.
Ne pas surchauffer son logement. Maintenir la température ambiante à un niveau convenable dans les pièces de vie (19-20°C). Eviter l’utilisation en continu d’appareils de chauffage d’appoint à combustible. Ne jamais utiliser des cuisinières, braséros (…) pour se chauffer. Placer les groupes électrogènes à l’extérieur de l’habitation et jamais dans un endroit fermé.
Limiter les déperditions de chaleur liées aux "ponts thermiques" au niveau des fenêtres, des portes et du sol en disposant des rideaux épais, des boudins en bas des portes et des tapis pour isoler les sols. Fermer les pièces inutilisées. Mais toujours s’assurer de la bonne ventilation du logement (ne pas obstruer les bouches d’aération, aérer quelques minutes chaque jour).
Fermer l’entrée du foyer de la cheminée lorsque celle-ci n’est pas en fonctionnement.
Si nécessaire, prévoir des travaux pour la rénovation énergétique du logement : isolation des combles et du plancher bas, double ou triple vitrage, installation de volets, disposer des isolants sur les portes… Les travaux de rénovation énergétique permettent de bénéficier de plusieurs aides financières comme MaPrimeRénov’ ou encore l’éco-prêt à taux zéro.
Attention au monoxyde de carbone
Avec une centaine de décès en moyenne par an, le monoxyde de carbone (CO) est la première cause de mortalité accidentelle par substance toxique en France. Il s'agit d'un gaz toxique, indétectable par l'homme, émis en cas de dysfonctionnement ou d’une utilisation inappropriée d’appareils de chauffage, ou encore lorsque les aérations du logement ont été obstruées. Lorsque les températures baissent, les risques d'intoxications augmentent.
Les symptômes (maux de tête, fatigue, nausées…) apparaissent plus ou moins rapidement et peuvent toucher plusieurs personnes dans un même foyer. Installer un détecteur de monoxyde de carbone est fortement recommandé pour éviter tout risque d’intoxication.
En cas d’intoxication
1- Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres et arrêter les appareils à combustion si possible ;
2- Evacuer au plus vite les locaux et appeler les secours en composant le 15, le 18 ou le 112 ;
3- Ne pas réintégrer les lieux avant d’avoir reçu l’accord d’un professionnel du chauffage ou des sapeurs-pompiers.
Comment réagir en cas de blessure ?
En cas d’apparition d’engelure superficielle, il est nécessaire de consulter son médecin. En attendant, il faut immerger la zone affectée dans de l’eau tiède. Ne pas frictionner la zone atteinte, ni la masser car cela pourrait aggraver la lésion. Ne pas utiliser de source de forte chaleur pour réchauffer la zone affectée.
En cas de gelure, il faut appeler les secours rapidement (15 ou 112) car ces lésions nécessitent un traitement hospitalier en soins intensifs.
En cas d’hypothermie, appeler les secours. Installer la personne à l’abri du froid et du vent. Remplacer les vêtements s’ils sont mouillés et couvrir la personne avec des couvertures. Si elle est consciente, lui donner des boissons sucrées, chaudes et non alcoolisées. Ne pas utiliser de chaleur directe, de couvertures électriques ou de bouillottes. Ne pas masser la peau.
Dans tous les cas, respecter les consignes de sécurité diffusées par les autorités.
Le risque de Grand Froid en France
Quelles sont les zones les plus exposées en France ?
Jusqu’à encore récemment, les journées de vagues de froid et de gelées étaient relativement fréquentes sur la plupart des territoires, notamment en zone de montagne et en région Grand-Est, seuls les littoraux méditerranéens et océaniques étant généralement épargnés.
En France, le record de froid est détenu par la commune de Mouthe, dans le Doubs, où la température a atteint -36,7°C le 13 janvier 1968. Mouthe constitue ce que l’on nomme un " trou à froid", c’est-à-dire un secteur au relief encaissé, dans lesquelles, sous certaines conditions météorologiques, l’air froid peut s’accumuler et les températures nocturnes s’abaisser en dessous de -20°C. On retrouve ces "trous à froid" dans l’ensemble des massifs montagneux (en particulier dans le Massif Central, le Jura, les Vosges et le Nord des Alpes).
Quelles vagues de froid intense la France a-t-elle connu ?
La France a connu au cours du XXe siècle plusieurs vagues de froid extrêmes et généraliséesà la quasi-totalité du territoire métropolitain.
La plus grande vague de froid que la France ait subi depuis le début des relevés météorologiques du début du XXe siècle s’est produite en février 1956 en raison d’un air glacial bloqué sur le pays pendant trois semaines et des températures atteignant des valeurs extrêmes (-22,2°C à Strasbourg, -21,4°C à Lyon, -28°C au mont Aigoual…). Cet épisode a également provoqué de nombreuses et importantes chutes de neige jusque sur les zones côtières : 80 cm à Bordeaux, 70 cm à Saint-Tropez, 60 cm à Saint-Raphaël.
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Températures hivernales moyennes en France
Consulter le siteVous souhaitez savoir si vous vivez dans une zone exposée au risque de grand froid ? Découvrez sur cette carte la température hivernale moyenne observée de 1976 à 2005 en France, consultable sur le portail DRIAS (données Météo-France, CERFACS, IPSL). Il vous permet également de visualiser les différentes évolutions climatiques simulées pour le siècle en cours.
L'impact du changement climatique sur les vagues de froid
Au XXIe siècle, les épisodes de grand froid se font plus rares. La dernière vague de froid remonte à février 2012 mais celle-ci reste, en termes d’intensité et de durée, bien loin des vagues de froid historiques du XXe siècle. Selon Météo-France : "L’hiver se réchauffe clairement en France [...]. Les hivers les plus froids appartiennent désormais aux livres d’histoires."
Le réchauffement global du climat n’implique pas pour autant la disparition de tout risque de vagues de froid extrême. Celles-ci sont encore possibles. En revanche, dans un climat plus chaud, ces vagues de froid devraient être globalement moins fréquentes, moins longues et moins intenses dans les années à venir que celles que la France a subi au cours du XXe siècle.
La prise en compte du risque de grand froid et des risques hivernaux par les pouvoirs publics
La prévention et la gestion des impacts sanitaires et sociaux des vagues de froid, et des risques liés à la neige et au verglas par les pouvoirs publics s’articule principalement autour du dispositif de vigilance météorologique de Météo France et du Plan Grand Froid.
La Vigilance de Météo France
La Vigilance de Météo France est conçue pour informer les citoyens et les pouvoirs publics en cas de phénomènes météorologiques dangereux. Ce dispositif couvre la journée en cours et le lendemain jusqu’à minuit. L'information est fournie, dès 6h, sous la forme d'une double carte, la première pour la journée en cours et la seconde pour le lendemain.
Les phénomènes de "Grand froid", "neige-verglas" et "avalanche" (pour les Alpes, les Pyrénées et la montagne Corse) font partie des risques hivernaux faisant l’objet de la Vigilance de Météo France.
Le dispositif comprend :Une "carte de vigilance météorologique" sur laquelle sont identifiés, le cas échéant, des phénomènes dangereux susceptibles de survenir dans les 24h, sous la forme de pictogramme.
Un niveau de vigilance traduit par un code couleur appliqué aux départements concernés selon le code couleur vert, jaune, orange, rouge, du risque le plus faible au plus élevé.
Des bulletins associés qui apportent des informations utiles sur la chronologie du phénomène, la localisation, les conséquences possibles, les conseils comportementaux donnés par les autorités.
L’information de vigilance est consultable en permanence sur le site vigilance et le site de Météo-France. Elle est également disponible dans l’application mobile de Météo-France et depuis 2013 sur le compte X (ex-Twitter) @VigiMeteoFrance. La vigilance est enfin largement diffusée et relayée par l’ensemble des médias.
Le Plan Grand Froid
Le Plan Grand Froid constitue un dispositif mis en place par les services de l’Etat. Son activation se fait au niveau des départements par les préfectures qui évaluent la situation en fonction des seuils de vigilance "Grand Froid" de Météo France, de la durée attendue de l'épisode de froid, de son intensité et de son étendue géographique.
Dans la plupart des départements, le niveau 1 du Plan Grand Froidest déclenché quand les températures minimales sont comprises entre -5°C et -10°C, le niveau 2 entre -10°C et -18°C et le niveau 3 quand les températures sont inférieures à -18°C. En dehors de ces phases d’activation, le dispositif prévoit une veille saisonnière du 1er novembre au 31 mars.
Le déclenchement du Plan Grand Froid entraîne la mise en œuvre de mesures destinées à détecter, prévenir et limiter les effets sanitaires et sociaux liés aux basses températures, en portant une attention particulière aux populations vulnérables :
Renforcement des équipes de maraude pour aller au-devant des personnes sans domicile fixe et sans-abris
Augmentation du nombre d’écoutants du 115 pour répondre aux demandes les plus urgentes
Ouverture de places d’hébergement d’urgence supplémentaires
Mobilisation renforcée des services de l’Etat et des établissements de santé, médico-sociaux et sociaux
Renforcement de la communication sur les risques liés à la période hivernale afin d’adopter les bons réflexes...
Le Plan Grand Froid de niveau 1 a par exemple été activé en janvier 2024 dans plusieurs départements en raison d’une épisode hivernal marqué notamment sur le nord de la France avec des températures parfois glaciales et des journées sans dégel dans le nord-est, des chutes de neige en plaine et des pluies verglaçantes.
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